Depuis l’adoption du projet de loi 198, au Canada, et de la loi Sarbanes-Oxley, aux États-Unis, il est devenu de plus en plus difficile et – aux dires de certains – de plus en plus risqué d’exercer le rôle de membre du comité de vérification d’une société ouverte. Néanmoins, le comité de vérification est maintenant plus important que jamais, de sorte que l’engagement de son président est essentiel pour assurer l’efficacité de la gouvernance de la société.
À l’issue de la première réunion du RCCV, plusieurs de ses membres ont exprimé le souhait que celui-ci devienne un forum ayant notamment pour mandat de définir les pratiques de pointe axées sur l’efficacité du comité de vérification. Les membres espèrent avoir l’occasion, dans le cadre des prochaines rencontres du RCCV, d’explorer plus en détail les enjeux particuliers liés à la vérification interne, comme la gestion des risques, les relations entre le comité de vérification et les autres comités du conseil d’administration, et les relations entre le comité de vérification et les vérificateurs externes.
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